(zilpha) valley of the soul.

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	Dim 28 Mai - 18:37 ZILPHA NARAYANIN ft. Deepika Padukone. - Nom › On la connaît sous le nom de Narayanin ; un patronyme qui roule sur la langue et rend hommage aux terres enfouies de sa naissance. Un nom qui s’est perdu entre deux continents, qui n’a plus réellement de sens à présent, car elle n’existe nulle part véritablement. - Prénom › Zilpha. C’est ce qu’il a murmuré sur son front couleur de sable, lorsqu’elle est née. Le même prénom que son aïeule, qui elle aussi, avait compté. - SURNOM › Aucun en particulier. - DATE & LIEU DE NAISSANCE › Née au matin du 27 février de l’année 1858, fille de l’équinoxe du printemps, elle poussait ses premiers cris lorsqu’au dehors, les couleurs dansaient dans le vent et l’air du temps, alors que la Calcutta devenue britannique célébrait la Holi. - ÂGE › Trente ans, elle se rapproche lentement mais sûrement de sa trente-et-unième année de vie. - ORIGINES & NATIONALITÉ › D'origine bengalie, officiellement, elle a conservé la nationalité anglaise, conférée aux citoyens nés sur les territoires de la Couronne. Mais dans les faits, elle n'a aucuns papiers à son nom. On ne sait pas exactement d'où elle vient, Zilpha. - MÉTIER › Créatrice d’illusions aux souffles alanguis, petite main qui œuvre dans l’ombre de Madame, Zilpha est sous le couvert de la nuit, danseuse au profit du Red Rock Lounge. On vient la regarder se mouvoir, se perdre sous les ondulations graciles de sa silhouette éthérée, s’imaginer autre au gré des mouvements de ses jupons colorés. Toujours prompte à rendre des services pour mériter sa place, c’est elle qui arrange les coiffures, vient passer un baume sur les blessures que la nuit engendre. Consoler les cœurs meurtris, être cette présence, toujours, qui apaise, et en même temps, protège, elle est arrivée en 1883 au Red Rock Lounge, et depuis, cet établissement fait comme partie d’elle-même. - RICHESSE › Aucune. L'argent qu'elle gagne, Zilpha le confie à Madame. Tout ce qu'elle met de côté est voué à ses petites dépenses personnelles, et concrètement, cela ne correspond pas à grand chose, que de la menue monnaie. - ORIENTATION SEXUELLE › Leurs lignes sont souvent abruptes et inélégantes, rugueuses sous les doigts, imparfaites dans leurs fragilités taciturnes. Elle cherche à lire en eux, à asseoir sur leurs carcasses une sorte d’empire, n'y arrive pas toujours. Ils l'aiment de corps, parfois d’âme, projettent sur sa silhouette des désirs inassouvis et incertains. Ils la déçoivent, la plupart du temps. Ils la quittent, parce que c’est comme cela que la transaction s’opère, dans leur monde qui froisse plus qu’il ne rend hommage. Rares sont ceux qui s’aventurent jusqu’à la douceur amère de sa couche, et si elle les hait parfois pour essayer de s’y arroger une place, ses appétits charnels de femme les préfèrent hommes. C'est tout, c'est comme cela. - STATUT SOCIAL › Célibataire, sans enfants. Elle n'a jamais été mariée, et n'a jamais eu le projet de l'être. elle ne représente de toute façon pas un parti qui serait considéré par un homme "normalement constitué". - CROYANCE › Vestiges de l'hindouisme, ancrés dans ses souvenirs. Elle ne pratique plus vraiment, a oublié les cultes et hommages que l'on rend. Elle a du mal à renouer avec une quelconque transcendance, Zilpha. - SITUATION FAMILIALE › Orpheline. Peut-être son père vit-il encore, quelque part, sur les mers entre l'Amérique et l'Inde. Elle n'a jamais réussi à savoir. - GANG/CLAN › Elle n'appartient à aucun gang, à aucun clan. Son allégeance va à Madame, uniquement. - OÙ VIT-IL/ELLE/IEL ACTUELLEMENT ? › Une chambre aux charmes exotiques, à l'étage du Red Rock Lounge, à Silverstone. Questions Réponses SALOON OU ÉGLISE › Saloon, puisque fâchée avec la transcendance, elle lui préfèrera sans le moindre doute les effluves du whisky à celle de l'eau bénite. WHISKY OU BIÈRE › Whisky, sans équivoque, sans sourciller. VILLE OU CAMPAGNE › La ville, dont elle apprécie les bruits, les mouvements. CHEVAL OU DILIGENCE › Cheval, même si elle n'est pas une cavalière hors pair, qu'elle manque cruellement de pratique. POKER OU LECTURE › Lecture. Elle se perd dans des ouvrages, Zilpha. Elle ouvre son esprit à travers les lignes qu'elle parcoure. Elle aime les revues scientifiques, les livres d'anatomie et d'herboristerie. tout ce qui peut lui permettre de se perfectionner, de soigner mieux, et plus efficacement. Si elle en avait eu la possibilité, sans doute aurait-elle aimé faire des études en ce sens. COLT OU WINCHESTER › C'est avec un Colt qu'elle a appris vaguement à tirer. Elle est plus attirée par les armes blanches, toutefois, que par les armes à feu. ARGENT OU FAMILLE › Argent, sans doute, même si elle s'avère peu matérialiste. La seule famille qu'elle possède se trouve au Red Rock Lounge, et ils ne sont liés que par le sang qu'ils savent faire couler. Alors argent, plutôt, s'il faut véritablement choisir. CALUMET OU MARLBORO › Ni l'un, ni l'autre. Elle ne fume pas, Zilpha. Jamais. Elle déteste cela. tw ; mentions de violence crue ☆ 1. L’enfance se déploie, d’une douceur amère, dans l’Inde britannique qui l’a vue naître. Petite fille aux sourires de connivence, dansant dans l’air du temps de l’innocence, elle a eu la chance de connaître un foyer aimant et privilégié, se déployant dans les castes respectées de Calcutta. Son père surtout, avait le nom qu’il faut. Depuis que la couronne anglaise avait étendu son empire sur leurs contrées, les Narayanin avaient su, de façon generationnelle, mettre les pions au bon endroit sur l’échiquier du monde, être de ceux qui profitent et non subissent. Se déployant dans le commerce maritime, voguant d’un continent à un autre les cales chargées d’étoffes et d’épices prêtes à ravir les modes et lubies des plus fortunés, ils possédaient un navire qui fut au service de la Compagnie des Indes puis de la Couronne, leur conférant une position confortable dans la société britannique implantée en Inde, dont Zilpha fut le fruit de l’éducation. Élevée comme d’autres enfants comme une petite anglaise, elle en avait le phrasé et les principes, même si sa mère mettait un point d’honneur à la bercer des cultes et religions de ses origines. Son père la gâtait, sans doute un peu trop, voyant dans ses regards d’enfant d’une insolence candide une vie qui pulsait en-dedans, et s’étendait au-dehors en entraînant avec elle tous ceux qui l’entouraient. Zilpha était la vie, dans ce qu’elle a de plus beau, dans ce qu’elle peut contraster de candeur et d’insouciance dans un environnement qui n’est pas fait pour la regarder s’épanouir. ☆ 2. A l’aube de ses douze ans, un sergent colonel de l’armée américaine, prénommé Caleb, venu se perdre du côté de l'ambassade britannique de Calcutta, fit des avances à sa mère qu’elle repoussa. Il ne supporta pas cet affront, brutalisa la malheureuse sous le regard impuissant de sa gamine qui chercha à s’interposer, en vain. Sans en avoir eu l’intention première, il ne vit pas le rebord en pierre sur lequel sa tête se heurta alors qu’il se ruait sur son corps, fut presque surpris de l’étreindre, inconsciente, entre ses bras devenus tremblants. Elle était morte. Presque sur le coup. Alors il la laissa là, encore tiède de cette vie qui venait de la quitter, emportant avec lui le seul témoin du crime qu’il avait perpétré, et pour lequel elle risquait de le dénoncer. D’abord résolu de la faire disparaître elle aussi, il ne put toutefois joindre l’intention à l’acte, lorsque, se perdant dans ses grands yeux noirs de jeune fille en devenir, il reconnut ses traits à elle, qu’il avait aimée, d’un amour malade et dangereux, qui l’avait rejeté aussi. Il l’aima et la détesta pour cela à son tour, pour cette ressemblance avec cette silhouette inaccessible qu’il n’avait su que conquérir dans la mort. Il emporta la gamine avec lui sur le navire qui le ramenait en Amérique, la rebaptisa, la fit passer pour une fille illégitime qu’il avait eue avec une autochtone lors de son périple, et dont, par dette d’honneur, il avait promis de s’occuper jusqu’à ce qu’elle soit en âge de se marier. Sauf qu’il ne la maria jamais. La vérité étant qu’il la tint par la menace et la terreur, qu’il étendit une forme d’empire sur sa carcasse juvénile, et ce, pendant plusieurs années. ☆ 3. Le rêve américain se dessina comme un véritable cauchemar, prit les traits d’une ferme familiale perdue aux confins de l’ouest californien, où son bourreau revint en héros auprès de sa famille qui ne l’attendait plus vraiment. Ils évoluaient comme une communauté refermée sur elle-même, isolée du monde qui les entourait. Zilpha ne savait pas comment sortir du joug de Caleb, parce qu’il savait comment faire ployer ses instincts de fuite, comment fracturer la candeur pour qu’elle se dévoue, de corps et d’âme, à ses volontés d’homme. Aussi parce qu’il n’y avait rien, sur des kilomètres à la ronde, là où ils se trouvaient, et qu’elle était terrifiée, la plupart du temps. Il n’y avait nulle part où aller dans cet univers qu’elle craignait de rencontrer. Elle était le réceptacle de sa cruauté, en nuances de rouge. Mais paradoxalement, cette existence cloisonnée par l’immensité des espaces déserts lui a aussi énormément appris, sur elle, et l’humanité qui les entourait. Petite communauté de femmes et d’hommes sous le joug d’un même bourreau qui s’improvisait patriarche. Tous à la merci, à leur manière, d’un même caractère impérieux. Seuls les hommes allaient et venaient en ville, subvenaient à leurs menus besoins. L’aîné de la fratrie, Ethan, était le seul qui aurait pu avoir un avenir. Il avait commencé des études de médecine, était parti au loin pour devenir quelqu’un d’autre, mais un jour, on leur avait seulement rapporté une malle contenant ses affaires, et un certificat de décès. Le second frère, Caleb, s’était engagé dans l’armée, était allé jusqu’aux Indes. Le cadet, Andrew, quant à lui, avait veillé sur la ferme pendant que les deux autres étaient en vadrouille, s’en était à peu près sorti, mais n’avait jamais eu la force nécessaire, de caractère et d’humeur, pour défier l’impulsivité froide de son frère. Alors quand il revint, qu’il voulut rassoir son autorité sur le cercle familial, il se contenta de ployer le dos, de taire les interrogations qui naissaient en lui au sujet de cette gamine qu’il avait rapporté avec lui. Il ferma les yeux dans le noir, lorsque, dans l’écrin de la nuit, il l’entendait la brimer pour des raisons futiles et insensées, se contentait de veiller à c’qu’elle ait toujours à manger, ou de la pommade pour soigner les plaies qu’elle cachait. C’est Andrew qui la laissa fouiller dans les affaires d’Ethan, parcourir ses ouvrages de médecine, que lui ne savait pas vraiment déchiffrer. Il n’y en avait pas énormément. Juste assez pour ouvrir une fenêtre dans son esprit, instiller une curiosité avide, vis-à-vis de ces connaissances à apprivoiser, et qui lui permirent sans doute de tenir plus longtemps qu’elle ne l’aurait espéré. ☆ 4. Ce fut en 1882 que tout bascula, lors d’une nuit tiédie par le printemps qui renaissait après l’hiver. Une nuit de folie et d’outrages, où la violence se conjugua à une forme de névrose. Une nuit sans possibilité de retour, car elle mit fin, en un sens, à l’enfer qu’ils avaient su créer. Zilpha ne parle jamais de ce qui se passa, son esprit ayant, en partie, occulté la brutalité de ce qui se déroula pour lui permettre d’avancer, sans doute. Elle se souvient juste de la douleur qui cisaillait son corps et son visage, du sang qui perlait dans sa bouche, du ton impérieux d’Andrew lorsqu’il l’avait hissée sur son cheval en lui disant de s’enfuir, de ne jamais revenir, de s’accrocher et de tenir. De l’odeur du bois qui brûlait, des cendres qui se mêlaient à la terre et aux larmes sur ses joues creuses. Elle ne sait pas combien de temps elle resta prostrée sur ce cheval, combien de temps cette fuite en avant dura. Des heures. Des jours peut-être. L’instinct de survie, devenu un moteur, sur ses lèvres qui s’asséchaient au soleil, et sa conscience qui la perdait peu à peu, qui la mena jusqu’aux portes d’Imogen, où, rompue par la fatigue, elle se laissa tomber de son cheval, se traîna jusqu’à l’arrière d’un bâtiment pour se prémunir des regards. Elle pensait que cela s’arrêterait là, qu’on la retrouverait morte, le lendemain, avachie et sale dans ce coupe gorge malodorant. Mais c’était sans compter cet homme, Dino, à l’accent chantant, qui la trouva au bon moment. Doux euphémisme, car rendue sauvage, il se heurta à ce qu’il y avait de pire, dans ce que la cruauté peut faire de ravages sur la conscience. Parce qu’elle le détesta, Zilpha, de ne pas l’avoir laissée là, de l’avoir ramenée à l’existence, alors qu’elle n’en pouvait déjà plus, elle qui avait tout juste vingt-trois ans. Elle le maudit, le frappa avec toute la force de sa rage, sans doute, pour l’empêcher de suturer ses plaies, de lui faire mal encore, quand elle aurait préféré qu’il l’achève. Puis la fièvre la gagna, la conscience la perdit, pendant des jours, peut-être des semaines. Chaque fois qu’elle rouvrait ses paupières balbutiantes, il était là, toujours. Cet inconnu aux yeux d’une noirceur immense, dont elle croyait entendre la voix lui faire la lecture, parfois, dans une langue qu’elle ne connaissait pas, alors qu’elle surnageait entre une réalité abrupte et des songes discordants. Il a été le témoin inébranlable de ses cris, de ses larmes. Le rempart indéfectible contre la folie qui menaçait de l’emporter avec elle. Gardien de sa conscience blessée, de son humanité malmenée. Si elle s’est relevée, Zilpha, c’est grâce à lui. Dino qui lui a trouvé une place, en 1883, au Red Rock Lounge, à Silverstone, auprès de Jezabel. Dino qui l’a abandonnée à son tour, d’une certaine manière. ☆ 5. Confiée par Dino aux soins de Jezabel Sinclair, on essaya d’en faire une prostituée, histoire de rentabiliser sa présence dans l’établissement ; mais les incidents avec les clients se multiplièrent. Elle était trop sauvage, Zilpha, pour les laisser apposer leurs doigts sur son corps. Alors elle ne rapportait rien. Pire que cela : elle coûtait cher, parce qu’il fallait dédommager les clients des marques qu’elle laissait sur eux en se défendant de leurs avances. Et puis, elle ne les attirait pas plus que ça, sa réputation se fit peu à peu. Elle avait un joli visage, mais qui troublait, à cause de la longue cicatrice qui cisaillait sa joue creuse, et des marques qui déformaient son corps nu, et trop maigre, que l'on devinait, ci et là, sous ses jupons aux couleurs chatoyantes. Elle ne devait sa place qu’à un service rendu, et pour la garder, pour se donner une chance, il lui fallut prendre conscience qu’elle devait mériter cette place. Alors on lui trouva d’autres rôles. Elle n’avait pas peur du sang et des larmes, elle savait soigner les plaies superficielles, apaiser les âmes. C’est ce qu’elle fit. Elle dansait bien aussi, semblant devenir autre lorsqu’on lui laissait la liberté de laisser son corps se mouvoir, autrement que sous des attraits charnels. Silhouette éthérée au teint de sable sous les alcôves du Red Lock Lounge, ombre dévouée de corps et d’âme à Madame, qui lui a offert, en même temps qu’un travail, une forme de sécurité au sein de son établissement. Cela fait plus de huit ans qu’elle est là, toujours. Danseuse aux charmes exotiques, comme sortie d’un autre temps, et d’un autre âge, c’est grâce à cela qu’elle se rend à peu près rentable, à l’unisson des services qu’elle rend. Sa sauvagerie s’est apaisée au fil du temps. Son rôle est un peu singulier et indéfini. Elle soigne les plaies des autres filles, concocte les breuvages sensés les prémunir « d’effets indésirables », effectue les tâches ingrates lorsqu’il le faut. Elle est là, tout le temps, en ombre mirage d’un établissement aux mille visages qui se déploient pour le plaisir des yeux, mais qui jamais, réellement, ne révèle ce qu’il y a de trouble dans les siens. Derrière l'écran Pseudo/Prénom › chatterley. - âge, pays › 29 ans, France. - type de personnage › Inventé. - Fréquence rp › Régulière. - comment as-tu connu le forum ? › Sur Pub RPG Design. - Chose à dire ? › Texte ici. KoalaVolant
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	Dim 28 Mai - 18:53 Bienvenue à cette demoiselle d'Ailleurs :cheers:
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	Dim 28 Mai - 20:32 Et merci beaucoup Bartel !
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Invité Invité
	Dim 28 Mai - 21:52 Bienvenue par ici Zilpha! Je ne t'ai pas souhaité la bienvenue sur le discord ni proposé de lien (ton personnage ne serait pas sur Silverstone d'après ce que j'ai compris mais plus sur Imogen). Dans tous les cas, bon courage pour la suite de la rédaction de ta fiche!
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Howard Redhooves
Since : 17/04/2022 Messages : 39 Faceclaim : Ajuawak Kapashesit Crédits : Ghoest DC : Mako, Kilian, Ichabod, Amelia, Benicio Age : 37 ans Job : Homme à tout faire des Beaver Habitation : Imogen, vers la scierie Disponibilité : Always	Dim 28 Mai - 23:15 Bienvenue sur le forum ! Hâte de lire la suite de ta fiche. Je suis über fan de Deepika Padukone, donc je suis ravie de voir un perso avec sa tête ! :r01: En tant que membre du staff, n'hésite pas si tu as à la moindre question, le discord est aussi à ta disposition si tu veux chercher encore du lien avec des membres, ou que tu te poses des questions sur notre contexte ! Bonne écriture à toi
Howard Redhooves


Invité Invité
	Lun 29 Mai - 13:04 @Erin Murphy Merci beaucoup pour ton accueil ! & pour le coup, Zilpha travaille au red Rock Lounge, à Silverstone, donc nous aurons la possibilité de cogiter pour un lien entre nos deux ladies si cela te tente ! @Howard Redhooves Contente que le choix de fc te plaise ! Elle est peu utilisée, c'est dommage. Merci pour ton accueil en tout cas ! Je suis déjà sur le didi, et cela m'a permis de trouver plusieurs liens déjà, c'qui est quand même très appréciable pour bien démarrer. :19:
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Makoyepuk Blackfoot
Since : 07/07/2020 Messages : 482 Faceclaim : Kalani Queypo Crédits : Ghoest DC : Kilian O'Reilly - Ichabod Walsh - Amelia Burke - Benicio De La Fuente Age : 38 ans Statut : Veuf, père d'une fille qu'on lui a volé, monsieur est un vagabond Job : Chasseur de prime Habitation : Officiellement, Imogen, officieusement, un peu partout	Mar 30 Mai - 13:15 Bienvenue à la nouvelle cocluche du Red Rock Loundge ! Que de péripétie dans cette fiche ! Première, tout est très bien écrit, c'est très agréable de te lire, tu as une jolie tournure de phrase et tes milles et unes métaphores qui m'ont fait rêver. En plus de ça tu poses tout de suite une ambiance, dès les premiers mots, et on a directement envie d'en savoir plus sur le perso ! C'est plein de suspens, de mystère, bref, bravo pour tout le travail investi dans cette fiche ( <--- un bon point pour ouat ) Bon, on a malgré tout beaucoup de peine pour la pauvre Zilpha qui, vraiment, en a vu des vertes et des pas mûres ! Tu nous racontes cette tragédie avec beaucoup d'élégance, ce qui la rend suportable - mais pas moins émouvante. Ce genre de parcours de vie dans un perso ça donne plein de pistes qu'on a envie de suivre pour te proposer tout un tas de lien, voir ton perso évoluer et surtout ( un jour peut-être) avoir sa revanche sur la vie. ça promet tout ça ! Bravo aussi pour tes recherches, j'en ai appris un peu plus grâce à toi sur le Bengal. Encore bienvenue à toi sur le forum, j'espère que tu t'y plairas ! Je te fais pas plus mariner, file donc rp ~~BTW si t'as pas vu Padmaavati de Bhansali je te le recommande chaudement~~ ☆ Boom baby ☆ Te voilà enfin des nôtres, prêt à conquérir l'Amérique en allait faire du rodéo à gogo ! Avant toute chose n'hésite pas à vérifier que ton personnage se trouve bien dans les bottins appropriés, un oubli est vite arrivé ! Surtout quand on a hâte de valider les petits nouveaux. Faut nous pardonner. Tu pourras également te créer une petite fiche de liens, pour te faire quelques amis, car il y en faut, même dans l'Ouest américain. N'hésite pas à aller errer sur celles des copains et y faire un coucou. Promis, même les faciès les plus truandesque aboient plus qu'ils ne mordent. Aussi, n'oublie pas de remplir ton profil si le coeur t'en dit ! Et si tu le souhaite, n'hésite pas à nous rejoindre sur Discord) pour discuter avec les autres membres. Tout le monde est très accueillant mais également très bruyant, ce qui peut laisser perplexe dans un premier temps. Tu verras, c'est comme débarquer dans une garderie pour tout petit ! L'équipe administrative ( @Clyde King, @Pearl Hennessy, @Makoyepuk Blackfoot et moi-même !) reste à ta disposition pour la moindre question ou le moindre souci ! Have fun sur G&W !
Makoyepuk Blackfoot


Irina N. Valanova
Since : 26/02/2021 Messages : 134 Name : Cendre Faceclaim : Tilda Swinton Crédits : behindfairytales (avatar) DC : Fifi & Blair Age : 25 ans officiellement \| 56 ans officieusement Statut : Veuve. À moins qu'elle ait oublié son mari quelque part ? Ou bien qu'elle n'ait jamais été mariée ? Job : Princesse, arnaqueuse, terroriste, comédienne, acrobate, danseuse étoile, peintre. Bref, tout ce qui l'arrange. Habitation : À Moonstone Pound, dans une petite tente de fortune. Disponibilité : Disponible [3/3]	Ven 2 Juin - 22:22 J'arrive après la guerre et quelle rapidité dans la publication de fiche Je te souhaite la bienvenue parmi nous avec ce très beau perso, j'espère que nous pourrons nous trouver un lien, au moins avec Fifi qui traîne à Silverstone !
Irina N. Valanova


Invité Invité
	Sam 3 Juin - 9:32 @Makoyepuk Blackfoot Je t'avais déjà remercié sur le didi, mais merci encore pour ton accueil, et le joli mot laissé ici. Je suis contente que le personnage plaise un minimum, et qu'il ait déjà inspiré quelques idées. @Irina N. Valanova Oh lala, quel choix de fc éloquent, j'adore Merci beaucoup pour ton accueil ! Cela serait avec grand plaisir pour le lien. Je vais d'ores et déjà aller fouiner ici et là pour trouver des infos sur tes différents faciès.
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