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| Since : 18/11/2019 Messages : 682
Faceclaim : Jimmy les deux bottes Crédits : GHOEST
| Lun 9 Nov - 15:41
Copier/coller Le jeu le plus simple de tous ! Simple comme bonjour, faites CTRL V (commande "copier") et postez le résultat ! :lol!:
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| Since : 24/08/2020 Messages : 183
Name : moontea.
Faceclaim : freddy carter. Crédits : zaja vava + tumblr gifs
DC : mila + clyde + Consuelo + amitola
Age : Vingt-quatre ans, mais il dira en avoir trente.
Statut : Ce qui l'arrange, quand ça l'arrange.
Job : Trafiquant, receleur, magicien, tout ce que vous voulez, tout ce qui rapporte.
Habitation : Quelque part entre Silverstone et Imogen, dans la montagne, prés et loin de tout à la fois.
| Lun 9 Nov - 17:10 | | | | |
| Since : 05/10/2020 Messages : 194
Name : Pearl Carson
Faceclaim : Thandiwe Newton Crédits : @STOLAS
DC : Maxence Burke & Nadie & Jacob Kalawai'a & Grace Monaghan & Harold Beaver
Age : 43 ans
Statut : épouse de Liam Hennessy, mère de Rose et James
Job : Membre de la society, femme de notable et chef de gang
Habitation : La maison Hennessy se situe à proximité de l'usine d'armement, sortie ouest de Silverstone.
Disponibilité : Toujours !
| Lun 9 Nov - 17:19 "Si MON PERSONNAGE était QUELQUE CHOSE, il/elle serait CECI !" "Si ton personnage était QUELQUE CHOSE, il/elle serait ... ?" loul | | | | |
| Since : 19/11/2019 Messages : 617
Name : Maëlle.
Faceclaim : Cillian fucking murphy. Crédits : gifs signature par sparkling-lux.
DC : mila + cole + isaac + amitola
Age : 36 ans.
Statut : Le cœur noyé dans le fond d'une bouteille de Gin.
Job : Homme de main pour les O'Reilly, gunslinger.
Habitation : Campement des O'Reilly, Moonstone Pond.
Disponibilité : 3/3
| Lun 9 Nov - 18:48 "Si MON PERSONNAGE était QUELQUE CHOSE, il/elle serait CECI !" "Si ton personnage était QUELQUE CHOSE, il/elle serait ... ?" SAME | | | | |
| | Mar 10 Nov - 13:23 Y'a rien... | | | | |
| Since : 24/08/2020 Messages : 183
Name : moontea.
Faceclaim : freddy carter. Crédits : zaja vava + tumblr gifs
DC : mila + clyde + Consuelo + amitola
Age : Vingt-quatre ans, mais il dira en avoir trente.
Statut : Ce qui l'arrange, quand ça l'arrange.
Job : Trafiquant, receleur, magicien, tout ce que vous voulez, tout ce qui rapporte.
Habitation : Quelque part entre Silverstone et Imogen, dans la montagne, prés et loin de tout à la fois.
| Lun 16 Nov - 19:34 Il s’excuse pour son handicap, et elle lui offre un sourire compatissant. Elle sait. Elle sait parfaitement ce que c’est, de se sentir inadapté pour ce monde. Mais elle n’a pas le droit de se plaindre, car contrairement à lui, elle l’a choisi. May sait, bien qu’elle ne veuille pas vraiment se l’avouer, qu’elle n’est muette que parce qu’elle a décidé d’être muette. Elle sait qu’en donnant un peu de temps à sa voix, elle pourrait parler à nouveau. Mais faudrait-il encore qu’elle en ait envie. Le silence est si réconfortant. Pas de faux-semblants, pas de non-dits, ni de mauvaise interprétations. Il n’y a que ce qu’elle veut exprimer et ce que les autres veulent comprendre. Il n’y pas de mots qui blessent, ni de paroles malheureuses. Elle lui présente son médaillon et il t’attrape avec délicatesse, glissant ses doigts sous le métal pour mieux en lire l’inscription. Le contact de leur peau, pourtant si bref, électrise la jeune femme. Rien à voir avec la main qu’elle a posée sur l’épaule du jeune homme quelques instants plus tôt. May n’est pas habituée à ce qu’on la touche, mais encore moins à ce qu’un homme le fasse. Prude, penserez-vous. Il lui en faut peu, diraient d’autres. Mais à cet instant-là, la jeune femme pense juste à la chaleur des doigts de l’inconnu, et leur touché étonnamment rugueux. Il n’y aucune arrière-pensée, juste deux êtres vivants en manque d’humanité. Il essaye de lire, tente une prononciation, et elle sourit. Un haussement d’épaule qui veut dire, « c’est presque ça », avec bienveillance. Mais déjà, il retire sa main et baisse les yeux. May, elle, fronce les sourcils, légèrement déçue. Ce contact ne la dérangeait pas et elle ne pensait pas avoir donné l’impression que c’était le cas… Prestement, il s’excuse. À nouveau, May secoue négativement la tête, la commissure de ses lèvres se relevant légèrement malgré elle. « Ce n’est rien, rien du tout ». Mais il ne peut pas lire dans ses pensées, alors elle s’approche, prête à prendre sa main dans la sienne pour lui montrer que tout va bien, mais il change de sujet. Il lui demande si c’est son prénom qu’il vient de lire. Cette fois, il le prononce bien. May acquiesce, et se désigne doucement, par reflex. Enfin, il se présente à son tour. Gabriel. Comme l’archange, messager de Dieu. Serait-ce là un signe du Seigneur ? En tous cas, le jeune homme avait tout de la beauté qu’on prêtait au divin… Ce dernier la coupe cependant dans ses rêveries en tournant la main vers la tombe pour présenter son père. Plus de sourire sur le visage de la jeune femme cette fois. Elle en avait presque oublié le contexte de leurs présentations. Solennelle, elle observe à nouveau la tombe. Et toutes les figurines de bois autour. Alors, relevant sa jupe juste assez pour ne pas la tacher, elle s’accroupit devant la stèle. Elle en lit l’inscription et se signe doucement, puis désigne du bout des doigts une des sculptures, un petit hibou. Son regard se tourne ensuite vers Gabriel, interrogateur : « C’est vous qui avez fait ça, n’est-ce pas ? ». La jeune femme place alors sa main sur son cœur, essayant tant bien que mal de lui dire qu’elle trouve cela très beau et touchant. OOOPS... | | | | |
| | Jeu 7 Jan - 20:24 "Si MON PERSONNAGE était QUELQUE CHOSE, il/elle serait CECI !" "Si ton personnage était QUELQUE CHOSE, il/elle serait ... ?" :face: | | | | |
| | Mer 3 Fév - 14:26 | | | | |
| | Dim 11 Avr - 4:47 | | | | |
| | Ven 17 Déc - 10:11 Je déteste les jeudis. Voilà, c’est la première phrase que j’écris dans ce cahier tout neuf : Je déteste les jeudis. C’est important pour la suite, que vous sachiez ça à propos de moi. Selon mon opinion pas si humble que ça, le jeudi est le jour le plus morne de la semaine, le plus déprimant, le plus terne. Il ne se passe jamais rien les jeudis. Et dans la petite ville de Lewes, où il ne se passe déjà pas grand-chose en temps normal, les jeudis sont synonymes d’ennui mortel. Même dans les pages du journal local, le Lewes Examiner, on ne trouve rien d’intéressant. Pas d’initiales intrigantes dans les petites annonces, de mystère local étalé en première page - avec un reportage exclusif de votre dévoué Phil Thompson, imprimé en petits caractères sous le titre en capitales. Phil, c’est moi. Ou plutôt, c’est moi qui ai insisté. Parce que mon vrai prénom, c’est Philibert. Mais personne ne m’appelle comme ça, sauf ma mère. Alors j’ai négocié avec mon père : oui, je ferais tous les reportages qu’il voudrait, même les chiens écrasés par une diligence sur la rue principale, tant que je pouvais signer “Phil Thompson”. Mon père, il tient le journal. C’est lui qui collecte les nouvelles venues du pays entier par dépêches postales, mais aussi les brèves locales, du style qui a épousé le fils de ou la fille de quelqu’un d’important, dans quelle église, et puis la dernière décision du maire, ce genre de choses. Mais le jeudi, à Lewes, il ne se passe rien. Niet. Nada. Ouais, j’ai même le temps de me mettre aux langues étrangères, tellement rien ne se passe. Les pieds sur le bureau de bois, dans la pièce qui sert de devanture à l’imprimerie familiale, je sifflote en regardant les passants par la fenêtre. À Lewes, personne n’a de secret pour personne. L’horreur pour un futur détective privé, je vous raconte pas. Quand; à l’âge de dix ans, j’ai dit à mes parents que plus tard, je serais détective privé, ils m’ont ri au nez. Ils m’aiment, n’allez pas croire n’importe quoi, mais voilà, ils ne comprennent pas. Pourquoi chercher l’aventure, quand on vous offre une vie confortable, une position déjà prête dans l’entreprise familiale, ce genre d’arguments. J’ai accepté le poste de journaliste que m’offrait mon père quand j’ai quitté l’école, et ça fait maintenant quatre ans que je prépare mon plan. Tout ce qu’il me faut, c’est un cas intéressant : une disparition, une mort suspecte, peu importe. Quelque chose qui pourrait figurer en première page du journal, sous le titre “Phil Figured It Out”*. Eh bien, croyez-le ou non, c’est exactement ce qu’il m’est arrivé ce jeudi-là. quand tu prépares tes rps sur Google Docs | | | | |
| | Mer 13 Avr - 10:08 | | | | |
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